Fragments d'humanités
Exposition retrospective
Thèmes :
Paroles
Intimité
Thérapie collective
Exposition retrospective
Thèmes :
Paroles
Intimité
Thérapie collective
Fragments d’humanités est une exposition de cinq oeuvres personnelles autour de la parole. Elle a été présenté au LUX - Scène Nationale de Valence, du 27 mai au 6 juillet 2024 et sera en itinérance en 2025.
Texte de l’exposition :
« Irvin Anneix invente des dispositifs qui donnent la voix à celle et ceux que l’on entend peu. À commencer par les séniors ou encore les adolescents, issus des quartiers populaires ou de la ruralité. Ses oeuvres mettent en lumière des personnalités inconnues, qui face caméra, dévoilent avec puissance une fraction de leur intimité.
Dans Cher futur moi, ces anonymes livrent leurs rêves et leurs peurs les plus profondes pour le futur. Dans Extrafiltres, ils témoignent de leurs complexes corporels. Dans Objets relais, ils enquêtent sur la vie de leurs ancêtres. Enfin, dans Correspondances, ils se lient d’amitié avec des inconnus, d’âges et cultures différentes.
En apparence simples et ludiques, ces dispositifs ont pour ambition de faire vivre aux participants des expériences fortes, parfois thérapeutiques. Dans une volonté d’imposer une relation d’égal à égal, Irvin définit le cadre créatif e se positionne en retrait. Il apporte un accompagnement bienveillant, ce qui permet aux participants de se sentir en confiance pour pouvoir s’exprimer en toute intimité. Un parti pris assumé, qui vise à effacer les intermédiaires pour créer davantage d’intimité entre celui qui parle et celui qui écoute. C’est notamment le cas de la série Cher futur moi, entièrement réalisée en auto-filmage.
Collectionneur dans l’âme, Irvin relaie ses dispositifs via des appels à participation diffusés sur les réseaux sociaux, ce qui lui permet de rassembler des corpus documentaires foisonnants, qui témoignent d’une incroyable richesse humaine. Miroir de notre société, il se dégage de ces œuvres une vérité, une parole libre, qui documente l’humanité de l’intérieur. »
Texte de l’exposition :
« Irvin Anneix invente des dispositifs qui donnent la voix à celle et ceux que l’on entend peu. À commencer par les séniors ou encore les adolescents, issus des quartiers populaires ou de la ruralité. Ses oeuvres mettent en lumière des personnalités inconnues, qui face caméra, dévoilent avec puissance une fraction de leur intimité.
Dans Cher futur moi, ces anonymes livrent leurs rêves et leurs peurs les plus profondes pour le futur. Dans Extrafiltres, ils témoignent de leurs complexes corporels. Dans Objets relais, ils enquêtent sur la vie de leurs ancêtres. Enfin, dans Correspondances, ils se lient d’amitié avec des inconnus, d’âges et cultures différentes.
En apparence simples et ludiques, ces dispositifs ont pour ambition de faire vivre aux participants des expériences fortes, parfois thérapeutiques. Dans une volonté d’imposer une relation d’égal à égal, Irvin définit le cadre créatif e se positionne en retrait. Il apporte un accompagnement bienveillant, ce qui permet aux participants de se sentir en confiance pour pouvoir s’exprimer en toute intimité. Un parti pris assumé, qui vise à effacer les intermédiaires pour créer davantage d’intimité entre celui qui parle et celui qui écoute. C’est notamment le cas de la série Cher futur moi, entièrement réalisée en auto-filmage.
Collectionneur dans l’âme, Irvin relaie ses dispositifs via des appels à participation diffusés sur les réseaux sociaux, ce qui lui permet de rassembler des corpus documentaires foisonnants, qui témoignent d’une incroyable richesse humaine. Miroir de notre société, il se dégage de ces œuvres une vérité, une parole libre, qui documente l’humanité de l’intérieur. »
Crédits :
Une exposition d’Irvin Anneix
Scénographie : Marion Flament
©2024